Le réseau Olympe est uneassociation à but non lucratifet un de ses objectifs est de fournir un service d’hébergement gratuit et sans publicitéde qualité, ouvert à tous.
La solution s’appuie sur uneinfrastructure en forme de nuage(cloud computing). Tous les services sontparfaitement redondantset la charge ajustée par un processus de supervision automatisé.
Pour leur infrastructure, Olympe Network afait le choix de construire un environnementau-dessus des centres de données. Il fonctionne avec de nombreux serveurs situés à différents endroits. Si l’un d’entre eux rencontre un problème, le service n’en est pas affecté pour autant et il est remplacé. De plus, ils sont parfaitement indépendants de leurs prestataires et de l’ensemble des problématiques qui pèsent habituellement sur un hébergeur.
En détails, l’infrastructure d’Olympe Network repose sur :
- MooseFS(open source, C) –Système de fichiers: Les fichiers sont stockés sur une partition virtuelle à la fois répartie et répliquée entre tous les noeuds de l’infrastructure. Olympe Network dispose donc d’un espace extensible jusqu’à plusieurs péta-octets et résistant à la panne.
- Pound(open source, C),Varnish(open source, C) –Les proxies et le cache: Les requêtes sont réparties (IP load balancing) sur l’ensemble des proxies disponibles. Les proxies ajustent ensuite les requêtes pour les envoyer soit vers les briques de traitement les moins utilisées soit vers un système de cache statique.
- Proxmox(open source, C) –Le pool de machines virtuelles: Les machines virtuelles sont des briques identiques effectuant des tâches précises toujours de manière répartie. Leur configuration est automatiquement générée grâce à LDAP et mise à disposition sur le système de fichiers partagé.
- Zenoss(open source, Python) –Le superviseur/manager: Le superviseur connecté à LDAP et au pool de machines virtuelles gère les pannes et la charge globale de l’architecture. Il ajuste en temps réel le nombre d’éléments du nuage.
- Gearman(open source, C),OpenLDAP(open source, C) –Communication inter-éléments: Grâce à des outils de gestion, nous interconnectons l’ensemble de nos programmes avec LDAP au moyen de plusieurs instances de messagerie inter-applications (réparties et résistantes à la panne).
Site Internet : Olympe Network
Licence : Gratuit
Je me méfie souvent des hébergements gratuits. Mais pourquoi pas. Il faut tester pour voir ce que cela donne. Si le cloud computing est intégré c’est bon signe pour le service rendu et la qualité surtout.
Sympa tout ça,
mais je partage les craintes du commentaires ci-dessus : quelles sont les garanties d’une telle offre, sur quel modèle économique repose un tel concept, surtout au regard du coup de location d’un serveur ?
Faut-il comme le propose l’hébergeur associatif APINC, payer une adhésion à l’association ? Quelles sont les conditions d’adhésion ? Quel type de contraintes faut-il respecter : peut-on héberger des sites internet à but commercial, dans le cas d’un blog, a-t-on le droit d’y poser des publicités et/ou des liens d’affiliation pour le monétiser, etc ?
En effet… de bonnes questions… en espérant que les administrateurs d’Olympe Network passeront sur FT 😉
Je partage vos avis… avec un tout petit bémol 🙂 Dans un cadre professionnel, le choix d’un prestataire payant et ayant une bonne expérience s’avère indispensable… bien que j’ai eu des quelques soucis. Olympe Network peut être une bonne solution pour des tests en grandeur nature, la publication de projets personnels. Et, Olympe Network existe depuis novembre 2005…
Oui tout à fait, dans le cadre pro, je suis d’accord, vaut mieux un hébergement payant.
PS : désolé pour lé fôtes daurthografe, il fallait lire dans mon prec. com. : « le coût de location de serveur » et non le coup :).
Sympa cette news merci.
Comme les autres commentaires, je pense qu’il faut utiliser ce genre d’hébergement pour du gratuit ou des services secondaires (genre serveur de developpement), mais pas pour la prod